Richesse des pratiques religieuses en Afrique

EXPOSITION • Le Musée d’ethnographie dévoile des collections représentatives du foisonnement des représentations du sacré.

  • Plus de 400 pièces inédites issues du MEG sont exposées. MEG, J.WATTS

    Plus de 400 pièces inédites issues du MEG sont exposées. MEG, J.WATTS

  • Plus de 400 pièces inédites issues du MEG sont exposées. MEG, J.WATTS

    Plus de 400 pièces inédites issues du MEG sont exposées. MEG, J.WATTS

L’exposition Afrique. Les religions de l’extase se veut une «initiation» à la diversité, à la richesse et à la dynamique des pratiques religieuses africaines. Tout au long du parcours apparaissent des objets ethnographiques, des photographies, interviews filmées et installations vidéo. Plus de 400 pièces inédites, issues des collections du Musée d’ethnographie de Genève (MEG) montrent la multiplicité des cultures religieuses et le foisonnement des représentations du sacré.

Des séries d’images contemporaines, réalisées par cinq photographes de renommée internationale, donnent à voir la réalité de certaines pratiques d’aujourd’hui et laissent deviner la ferveur des dévots lors de cultes, de rituels ou de pèlerinages. Une série de courts témoignages vidéo permettent aux visiteurs d’entendre le point de vue des adeptes eux-mêmes.

Le parcours se déroule en quatre étapes. La première est consacrée aux religions monothéistes (islam, christianisme et judaïsme) et la seconde aux fondamentaux des religions africaines autochtones (le culte des ancêtres, la divination et les pratiques funéraires). La troisième étape est dédiée à l’une des formes les plus saillantes des religions africaines, les cultes de possession (vaudou, mahamba, zâr, bori, ngoma...). Enfin, la quatrième étape est dévolue à la diversité des univers magico-religieux africains (masques initiatiques, culte des jumeaux, sorcellerie...).

«Afrique. Les religions de l’extase», Musée d’ethnographie, jusqu’au 6 janvier 2019, www.meg-geneve.ch